L’économie des sports d’hiver : comment en profiter ?
L’économie des sports d’hiver génère environs 120 000 emplois selon le journal économique « La Tribune » dans un article daté du 8 février 2016. La France est par ailleurs la première destination touristique dans le domaine avec 53,9 millions de « journées ski » vendues pour la saison 2014-2015
Une dynamique qui a un réel intérêt économique
La dynamique des sports d’hiver génère donc une autre activité que le ski en lui-même. On a tous en tête le cliché des bars de haute montagne immortalisé par l’humoriste Gad Elmaleh dans son spectacle « Papa est en haut » comme étant chers notamment.
Effectivement, ces commerces de montagne s’avèrent parfois coûteux mais étant donné les conditions de fonctionnement de ces derniers, les prix n’en sont pas moins assez justifiés : la fréquentation y est saisonnière(puisque les sports d’hiver n’ont lieu… qu’en hiver), la logistique est compliquée du fait d’une accessibilité réduite par les petites routes de montagne encombrées et enneigées qui sont une contrainte pour les livraisons. Ajoutez à cela le fait que les baux commerciaux sont souvent très chers : à titre d’exemple, un local commercial de 60 mètres carrés à Tignes en haute montagne est loué 1800 euros par mois alors qu’un local d’une superficie deux fois supérieure à Oullins (jolie ville de la banlieue de Lyon) sera loué 1375 euros par mois.
En outre, la gestion de ces commerces s’avère souvent difficile : l’affluence y est saisonnière mais est telle qu’elle ne permet souvent pas une tenue sereine de la comptabilité (trous dans la caisse etc…) ainsi qu’une gestion fluide des stocks faute de temps : dans le cas du restaurateur, cela pourra le faire passer à côté de certains clients, mécontents que certains produits proposés sur la carte ne soient pas disponibles, ou pire, c’est au serveur que ce dernier pourra s’en prendre, occasionnant par là une mauvaise ambiance de travail.
Quelles solutions pour ces contraintes
Face à ces contraintes, qui engendrent des « forces de frottement » générant un manque à gagner dans la tenue de votre commerce les solutions sont multiples : externalisation de certaines activités comme la comptabilité ce qui engendre malgré tout un surcoût. La solution miracle serait pour le commerçant d’avoir trois cerveaux et 5 paires de bras ainsi que des compétences sportives hors normes…
La caisse enregistreuse tactile Addic Till ne vous propose pas cela (loin de nous de vouloir générer des monstres à 8 têtes). Cependant, cette caisse tactile compatible avec la nouvelle norme NF 525 en vigueur au 1 janvier 2018 vous permettra de gérer en toute sérénité et sans perte de temps et d’argent votre commerce. Elle automatise la gestion de votre comptabilité et vous avertit en temps réel de l’état de vos stocks et des commandes à passer pour ne jamais connaître la rupture à partir de seuils initialement fixés par vous-même.
En outre, la caisse enregistreuse que nous proposons a l’avantage d’exister en formule ultra-mobile sur tablette tactile sous Android : à partir de là, vous pouvez aisément imaginer d’en finir avec le coût faramineux des baux commerciaux pour passer à la solution moins coûteuse des « Food trucks » par exemple. En effet, la solution de caisse que nous proposons ne nécessite pas de connexion internet pour enregistrer vos comptes : seulement ponctuellement et tous les 7 jours… la sauvegarde de vos comptes se fait automatiquement dès connexion.
Cette solution que nous proposons dans la droite ligne de notre engagement auprès des commerçants de proximité vous permettra de vous concentrer sur votre cœur de métier et de vous rendre plus disponibles pour vos clients, vous faisant économiser jusqu’à une demi-journée de travail par semaine